Bienvenue au Studio en ligne

Enfin prêt.e.s à bien nous nourrir, une envie de faire du bien à notre corps comme à notre esprit.

Certains pourraient dire que c'est «la tendance »... c'est branché, mais c'est bien plus que ça: c'est notre santé, notre corps & notre planète.

Une idée toute simple & vivante pour faire le plein de vitamines, nutriments & autres bienfaits que la nature nous offre !

Je ne suis pas une crudivore, une adepte d'une alimentation vivante

crue...

mais j'ai envie de m'alimenter sainement,

rechercher les meilleurs produits, de retrouver le goût authentique des légumes.

Le cru est gai, joyeux, coloré, croquant, vitaminé & rapide.

Je vous invite à consommer du bio ou du raisonné, à consommer local et surtout de saison !

Ici une betterave jaune sucrée, des radis violets pour le piquant mais pas trop, du fromage de brebis & du beurre crus eux aussi.

Et évidemment pour rester dans le vivant, sur un bon pain au levain!

Bonne dégustation!

Sources :

Nami

The alchemist

Cecile Semaan

Jonathan Louis Dent

Comme tout le monde je n’ai pas forcément la possibilité de cuisiner chaque jour.

Alors j’opte pour un assemblage gourmand & gorgé de vitamines.

Je mange souvent cru (attention cela ne convient pas à tou.te.s)

En ce moment j’utilise beaucoup en base & en texture les nouilles de sarrasin, une source de protéine végétale. C’est un aliment plus riche en rutine, un antioxydant qui protège les vaisseaux sanguins. Le sarrasin constitue une source intéressante de cuivre, de phosphore, de zinc, de calcium. Son taux de vitamines du groupe B est aussi supérieur à ce que l'on trouve dans le blé. C'est une bonne source de prébiotiques Fructo-oligosaccharides (FOS) qui stimulent la croissance de nos bonnes bactéries intestinales, favorisant ainsi notre digestion.

Ici associé à la pomme & au radis noir, un légume détoxifiant & digestif.

+ au Foie de morue source de vitamine D qui permet de lutter contre l’ostéoporose. je garde son huile j’y ajoute un jus de citron, du poivre noir & des zestes de kumquats pour une note acidulée

Janvier est-ce le mois pour décider ?

Janvier, lieu de rencontre, vortex d’entre-deux,

[Janvier est fait pour s'asseoir dans le large silence, bâiller & sentir les bords de l'année à venir. Elle fredonne quoi ? Quelle forme tacite prend-elle dans les premières heures avant que nous commençons à nommer & à mesurer ?

- Une nuit de sommeil & simplement réveillé avec l'espoir d'un monde refait dans la silhouette d'une nouvelle année...

Je vois janvier comme son propre endroit, existant en dehors de l'année civile un espace entre les deux.

C'est ici, dans cet espace, que les contours de l'année commencent à émerger, non pas sous forme de résolutions ou de déclarations, mais sous forme d'inclinations tranquilles. Un sentiment des domaines qui méritent d'être explorés. Un battement de portes, entrouvertes, qui n'avaient pas été remarquées auparavant.

Ce n'est pas une question de productivité ou de but, mais quelque chose d'étrange, de plus loser - une façon de remarquer la texture de ce qui remue & de le tenir sans se précipiter pour en faire quelque chose pour l'instant.

Cette approche tranquille & sans précipitation de janvier est, à sa façon, une discipline. L'envie instinctive de se précipiter, d'imposer forme & but est forte. Mais il y a une sagesse plus profonde à résister à cette impulsion - choisir plutôt de demeurer dans le calme avant le début du travail, permettant à la forme de l'année d'émerger lentement.]

Tess Guinery

Le Solstice d’Hiver célèbre le retour de la lumière dans diverses cultures, c’est un portail, passage sacré.

Ce n’est pas le moment de forcer un nouveau départ. Il viendra naturellement au printemps, lorsque la Terre & nos propres énergies commenceront à s’élever. Pour l’instant, nous nous reposons. Honorons la beauté.

C’est pourquoi j’ai envie de vous partager ici une exposition qui m’a beaucoup nourri, tant par la beauté des œuvres que par la démarche artistique.

Tandis que les courants artistiques des années 197O et 1980 laissent peu de place au spirituel, l'œuvre d'Olga de Amaral en est, au contraire, totalement empreinte. L'emploi de l'or est l'une des révolutions majeures de son langage artistique: qu'il réfracte ou absorbe la lumière, il lui permet d'instaurer un dialogue entre différentes croyances.

Car si le doré rappelle les autels des églises catholiques baroques de Bogota, c'est aussi l'orfèvrerie précolombienne & sa connotation sacrée qui est évoquée dans les textiles d'Olga de Amaral.

C'est aussi parfois la métaphore des éléments & leur puissance qui intéressent l'artiste.

L’exposition se tient à Paris jusqu’au 16 Mars 25